samedi 28 novembre 2009

Les sons qui tuent


Les éoliennes rendent malades les gens qui vivent à proximité...
Vertiges, nausées, dépression.
Ces horreurs génèrent des infrasons.
Ce sont des ondes sonores inaudibles...
Qui deviennent dangereuses quand elles sont puissantes.

Voici mon expérience personnelle qui date des années 70...
Je travaillais à l'époque pour la recherche spatiale...
La fusée Diamant de cette époque là...
Souffrait d'un mal étrange appelé "effet POGO"...
Au décollage, l'onde stationnaire qui lui remontait sous la jupe...
Excitait dangereusement son carburant...
Heureusement elle n'a jamais atteint l'orgasme.
On travaillait sur ce phénomène en laboratoire...
Avec une machine infernale déguisée en enceinte acoustique...
Qui produisait un infrason suffisamment puissant...
Pour exciter la Belle.
J'étais responsable de l'asservissement de l'onde...
A un moment je me suis retrouvé dans le champ infra sonore...
Putain de Dieu, j'ai cru crever !!!
Je m'en suis heureusement tiré...
Avec quelques vomissements et une bonne chiasse...

En fait tout ça est très bien expliqué dans Tintin, "Laffaire Tournesol"...
Mais les fabricants d'éoliennes ne lisent sûrement pas Tintin...
Occupés qu'ils sont à surveiller les cours de la bourse.

A lire (en plus de Tintin): Eoliennes le vent de la polémique, LeMonde magazine n°11 du 28/11/09

jeudi 26 novembre 2009

TOTEMS

2000 ans que celui là...
Essaie de nous séduire...
Et de nous asservir.


Consommation et écolobusiness obligent...
Les nouveaux Maîtres du Monde...
Essaient de nous maintenir en esclavage...
Avec du vent.


Compliqués, corrompus, et pourris...
Ils construisent notre prison ...
A leur image.

Alors, pourquoi ne pas s'asseoir dessus ???
Et regarder ailleurs...


lien utile:

http://www.dailymotion.com/video/xb9m7x_climategate-vostfr-alex-jones-23110_news

Il a l'air sincère, n'est-il pas !!!

jeudi 19 novembre 2009

Un parfum de café

Chronique havraise N°73

Mon dernier après midi dans le parc de Montgeon...


Une lumière splendide...
Avec cette brise légère à l'odeur de café...
Seul souvenir d'un temps révolu...
Du "commerce triangulaire".

Comme d'habitude je suis parti vers la forêt...
Du côté de l'arboretum, un jeune jardinière...
Achevait de massacrer les massifs de rosiers...
Tandis que son collègue motorisé...
Réduisait en compote les dernières poires.
Quelle tristesse!!!
Juste en sortant du lieu du crime...
J'ai relevé la tête...

Heureusement...
La nature à toujours le dernier mot.

mercredi 18 novembre 2009

Mourir en beauté

Chronique havraise N° 72

Les feuilles, brûlées par la vie...
S'accrochent désespérément aux branches...
Du fragile bouleau...

Du hêtre rustique...

Du chêne majestueux...

Et jouissent une dernière fois des rayons du soleil....
Avant de descendre élégamment...
Vers leur dernière demeure.

dimanche 15 novembre 2009

Le temps des betteraves

Les dernières feuilles tombent...
Sous les bourrasques du vent de sud ouest...
Les terres dénudées sont gorgées...
De l'eau des pluies de Novembre...
Il ne reste plus le long des routes de nos campagnes...
Que ces énormes tas de betteraves.

Tristes paysages, tristes tubercules...
qui me rappellent cette expression d'antan.
Quand quelqu'un était un peu simplet...
On disait de lui, avec mépris, qu'il était...
" Tout juste bon à sarcler des betteraves"!!!

dimanche 8 novembre 2009

Une autre vie


Je pense à ce chalet...
Croisé dans la Vanoise...
Il y a un peu plus de vingt ans...
Et je me demande si aujourd'hui...
Il n'y a pas un type ...
Monté là en 4x4...
Qui souffle sur les feuilles mortes...
Avec une machine infernale.
J'espère que non!!!

vendredi 6 novembre 2009

La malédiction du Douillon

Chronique havraise N° 71

Les cygnes majestueux...
Observent avec dédain...
Les jardiniers de l'absurde.

Là bas, de l'autre côté du parc...
Les poires de coq jonchent le sol...
Dans l'indifférence générale.

Je retrouve mes réflexes d'enfant (voir chronique n° 57)...
Je ramasse les plus belles...
Et de retour à Yport...
Habillées de pâte feuilletée...
Elles se transforment en "Douillon Cauchois"...
Et font la joie...
De nos soirées d'automne.