J'essayais de mettre en ordre mes idées sur le terrorisme...
En me disant...
Que peut être un terroriste d'aujourd'hui...
Serait un héros de demain...
Que beaucoup de gens dans le monde se battent...
Pour récupérer leurs territoires et leurs cultures...
Spoliés par les pays "riches" depuis des siècles.
Je repensais à Action directe...
Qui avait "zigouillé" le PDG de Renault...
Et j'imaginais avec plaisir..;
Que l'actuel pourrait subir le même sort...
Puis j'ai levé la tête...
Sur l'immeuble d'en face...
Un ouvrier solitaire et sans aucune protection...
Faisait les finitions de la terrasse...
Situation impossible en France....
Où tout est balisé, sécurisé, normalisé.
Je me souviens que dans les années 70...
J'étais moi même harnaché, attaché et casqué...
Pour faire des mesures sur une tour métallique...
Alors que les "charpentiers fer" ....
Se déplaçaient dans la structure comme des singes...
"Ptit gars" m'a dit l'un d'eux...
Si on était équipé comme toi...
On ne pourrait jamais faire notre travail dans les temps...
C'est notre métier , on a toujours travaillé comme ça.
Mais l'Europe bureaucratique est passée par là avec sa normalisation ISO...
Harnais, casque et filet pour tout le monde.
Ici au Pérou c'est encore la France des années 70...
Les gens qui travaillent...
Travaillent vite et bien...
Avec une minimum d'outils...
Qu'ils ont souvent fabriqués de leurs propres mains...
Ah! oui je me rappelle...
Jadis on appelait ça le "savoir faire"...
Mais ça n'était pas normalisé.
Par les soirs bleus d'été, j'irai dans les sentiers picoté par les blés, fouler l'herbe menue...
jeudi 24 janvier 2013
jeudi 17 janvier 2013
Ici, je ne suis qu'un "touriste"
Je lisais récemment...
L'histoire de ces deux touristes en Afrique du sud...
Qui posent pour la photo devant des rhinocéros ...
Évidemment, "la insipida"s'est faite embrocher comme un "pollo".
Après six jours à Lima , j'ai juste un peu rougi...
Alors en dehors des quartiers "chics"...
Je ne suis qu'un "gringo" repérable à cent mètres à la ronde...
Difficile d'assouvir ma passion photographique...
Dans les marchés de Magdalena ou de San Martin...
Juste le temps de voler un coucher de soleil sur le pacifique à San Miguel...
De faire quelques clichés dans un parc calme de Magdalena...
Un peu à l'écart, sur l'avenue Ayacucho...
J'ai aussi succombé à ces tricycles de transport de meubles "barato"...
Mais l'appareil photo est resté dans son sac...
En passant devant le "comisaria"...
Avec son garde équipé d'une mitraillette.
Sur le chemin du retour vers San Miguel...
Je mourais d'envie de photographier...
Les deux petites filles qui couraient à nos côtés...
En criant "abuela"..."abuela"....
Une grand mère, pimpante, les attendait de l'autre côté de la rue...
Il y avait là une ouverture dans un vieux mur...
Et derrière le mur on devinait un fatras de cabanes de planches et de tôles ondulées...
Les petites vivaient là, avec toute la famille sûrement.
Et c'est partout comme ça dans ces quartiers...
A l'urbanisation galopante.
Il y a beaucoup de familles sacrifiées par le capitalisme immobilier...
Qui survivent comme elles peuvent.
L'histoire de ces deux touristes en Afrique du sud...
Qui posent pour la photo devant des rhinocéros ...
Évidemment, "la insipida"s'est faite embrocher comme un "pollo".
Après six jours à Lima , j'ai juste un peu rougi...
Alors en dehors des quartiers "chics"...
Je ne suis qu'un "gringo" repérable à cent mètres à la ronde...
Difficile d'assouvir ma passion photographique...
Dans les marchés de Magdalena ou de San Martin...
Juste le temps de voler un coucher de soleil sur le pacifique à San Miguel...
De faire quelques clichés dans un parc calme de Magdalena...
Un peu à l'écart, sur l'avenue Ayacucho...
J'ai aussi succombé à ces tricycles de transport de meubles "barato"...
Mais l'appareil photo est resté dans son sac...
En passant devant le "comisaria"...
Avec son garde équipé d'une mitraillette.
Sur le chemin du retour vers San Miguel...
Je mourais d'envie de photographier...
Les deux petites filles qui couraient à nos côtés...
En criant "abuela"..."abuela"....
Une grand mère, pimpante, les attendait de l'autre côté de la rue...
Il y avait là une ouverture dans un vieux mur...
Et derrière le mur on devinait un fatras de cabanes de planches et de tôles ondulées...
Les petites vivaient là, avec toute la famille sûrement.
Et c'est partout comme ça dans ces quartiers...
A l'urbanisation galopante.
Il y a beaucoup de familles sacrifiées par le capitalisme immobilier...
Qui survivent comme elles peuvent.
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