Chronique havraise N°58
Ce scooter, je suppose...
A péri dans les flammes...
Et son voleur , incendiaire...
Néanmoins amoureux de la nature...
Lui a donné sa dernière demeure...
Sur un lit de feuilles mortes.
Ce grand hêtre...
Aux racines bien ancrées au sol...
S'est cassé en deux dans la tourmente...
Parce qu'il était pourri de l'intérieur.
Dommage que les systèmes politiques...
Ne soient pas aussi sensibles...
Aux lois de la nature.
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