Chronique havraise N° 60
Hier c'était canicule...
Aujourd'hui c'est gris et frais...
Difficile de rester sur un banc...
A lire les mauvaises nouvelles.
Allons dans les bois...
La petite brise a un parfum de café...
Le sol est tapissé de champignons...
Et en levant la tête...
Le château apparaît dans les arbres.
Vestige d'une autre époque...
Où ce parc...
Occupé maintenant par des pédalos et des tondeuses à gazon...
Etait une ville de 6000 âmes...
Avec écoles, église, et cinéma...
C'était à la Libération!!!
Et nous qui viendra nous libérer...
Des tortionnaires féodaux...
Qui achètent notre pays par petits morceaux...
Avec les dollars qu'ils nous rackettent...
Contre leur saloperie de pétrole.
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