J'étais à la hauteur de l'aéroclub d'AUTRETOT .
Il y a bien longtemps le poisson d'avril favori du journal local était : "Le Concorde fait un atterrissage forcé à AUTRETOT".
Et une bande de passionnés, un peu fêlés, ont pris le poisson d'avril au pied de la lettre, et ils l'ont fait, "en vrai".

Le 25 juillet 2000 j'étais dans mon bureau quand un collègue d'Air France m'a téléphoné pour que je ressorte les dossiers de maintenance du Concorde qui venait de s'écraser près du Bourget.
C'était déjà une autre époque, où on oubliait de remonter des pièces, où on laissait traîner des lamelles métalliques sur les pistes...
Un autre monde, de paperasse, de fric, et de mort...
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